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Ancien ministre français accusé de pédophilie: Il a été pris à Marrakech lors d'une orgie avec des garçons

Les allégations de pédophilie, a lancé une station de télévision contre un ancien ministre, non identifiés mercredi controverse alimenté sur les habitudes sexuelles de certains hommes politiques français, comme Dominique Strauss-Kahn affaire.

Ancien ministre de l'Education Luc Ferry, l'indignation a suscité des réactions, en disant, lundi soir, la chaîne de télévision Canal + qu'un autre ancien ministre, «a été pris à Marrakech lors d'une orgie avec des garçons."

Il a dit qu'il avait dans ce cas «témoignage» de «autorités de l'Etat au plus haut niveau», en particulier à partir d'un premier ministre, mais a refusé de dire son nom, de peur d'être condamné par le tribunal.

Luc Ferry, ministre en 2002-2004, a rappelé le cas pour expliquer le fait que les journalistes ne peuvent pas tout dire sur la vie privée des politiciens. presse française a été accusé d'indulgence dans ce domaine, où Dominique Strauss-Kahn, a voulu pour infractions sexuelles commises contre un hôtel à New York.

Cette critique véhémente charge causé de graves parmi les hommes politiques: "C'est un nedenunţarea crime, a accusé mercredi l'ancien ministre de la Justice, Rachida Dati, un ancien magistrat.

Si «savoir des choses doit dénoncer les faits et de dire à ce sujet", a dit le député, en disant que la justice «se saisir de ces déclarations."

"Nous avons une loi en France qui permet la poursuite de toute personne qui commet des actes de pédophilie à l'étranger», a déclaré Rachida Dati.

La même indignation exprimée et ministre des Affaires étrangères Alain Juppé. "Si Luc Ferry a la preuve qu'une infraction ou le comportement criminel (...), puis Ferry de rendre justice, dit-il.

"Si vous êtes convaincu qu'un crime a eu lieu, traitant de la justice, et non pas simplement parler dans la presse", a ajouté le chef de la diplomatie française.

Luc Ferry "doit expliquer", a déclaré Dominique de seau et du parti radical. "Lorsque vous faites ces demandes, fondées ou non, vous avez le courage de les assumer, at-il insisté.

Face à ces attaques, Luc Ferry a tenté de la justifier. «Je voulais défendre le respect de la vie privée des médias et non coupable de diffamation. Je n'ai aucune preuve, aucun fait de ce cas particulier, mais alors que j'étais ministre, j'ai entendu parler de cela», philosophe a dit le site Internet du journal L'Express. 

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